Voici comment un consultant X s’adresse aux communes candidates à une fusion:
« Informer ne suffit pas. Il s’agit de communiquer. Car la fusion de communes est un processus extrêmement complexe. Non seulement par la densité administrative de la démarche, mais également par la charge émotionnelle qu’elle contient, liée à l’identité, aux racines, aux privilèges ainsi qu’aux services les plus exposés dans une telle démarche: l’école, le guichet communal, la voirie, etc. Sans parler de la question de la bourgeoisie, elle aussi très sensible.
X est à vos côtés pour expliquer, préciser, rassurer, voire susciter l’enthousiasme. Car mettre en place très tôt une réflexion sur la communication, qui évolue au fur et à mesure de l’avancée du rapport de fusion, c’est augmenter drastiquement ses chances de réussite. Tous ménages, site web, relations presse, réseaux sociaux: nous définissons avec vous une stratégie de communication adaptée, évolutive, et diffusons les bons messages, au bon moment, sur les bons canaux.
Conseils
Toute l’équipe X est à l’écoute, tout au long du processus, prête à réagir à un besoin nouveau, à une situation de crise, etc. Parce que nous défendons un accompagnement intégré avant, pendant et après, nous sommes à même de gérer n’importe quelle situation, et pouvons mettre à contribution un vaste réseau de professionnels dans tous les domaines qui touchent de près ou de loin à la gestion d’un processus de fusion communale. Et quoi qu’il arrive, nous restons votre interlocuteur privilégié. Notre objectif: la voie du succès. »
Et après on viendra nous dire que les fusions de communes naissent d’un désir spontané de la population.